Après deux mois en Australie, un constat important est a faire : sans véhicule on n'est pas assez libre pour trouver du travail dans les fermes ou tout simplement pour visiter les alentours.
L'idée d'acheter un van nous plaisait mais l'idée que les précédents propriétaires ne s'en soit pas du tout occupé ou qu'il soit trafiqué nous angoissait beaucoup.
Kate et Chris, nos colocs irlandais sont arrivés en van. Puis ils on commencé a mettre des annonces pour le vendre. Puis Patrycja me dit : « Greg ça te dit qu'on leur achète le van? »L'idée me plaisait énormément et comme ce sont nos colocs, depuis 3 semaines on voyait comment ils vivaient au quotidien. Ils sont respectueux, font attention aux affaires de tout le monde. Bref des gens qui font donc attention à leur van !
On dit alors à Chris que l'on est intéressé, mais il nous répond qu'il doit partir car quelqu'un veut le voir.... « Chris please don't sell the van now !! » lui dit-on quand il monte dans son van. Une heure plus tard, il revient le van non vendu ! OUF !
On regarde le van Ford, modèle ECONOVAN de 1996 avec moins de 280 000 km (nickel pas une éraflure), les factures, tout ce qu'il contient, on négocie le prix. On essaie le van, bon la troisième n'est pas facile a passer mais avec le temps on va s'habituer.
Ce qui est marrant en Australie c'est que les vans ont un ou deux noms. C
elui ci en a deux : Ronnie Rocket ou Litlle Bongo Bus . On se donne deux jours de réflexion...le lundi 11 juillet on décide donc d'acheter le van.
Ce qui est marrant en Australie c'est que les vans ont un ou deux noms. C
elui ci en a deux : Ronnie Rocket ou Litlle Bongo Bus . On se donne deux jours de réflexion...le lundi 11 juillet on décide donc d'acheter le van.Le matin même j'avais trouvé mon premier travail dans la restauration et on achetait un van !
Comme dit l'adage : « Tout vient à point à qui sait attendre. »
Comme dit l'adage : « Tout vient à point à qui sait attendre. »
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